Je précise qu'il n'y a pas de délai pour écrire sur le sujet :
" mais où es donc Ornicar ?", voir billet du 11/11/08.
Vous pouvez écrire en breton si vous voulez.
N'eus ket un deiziad resis evit echuiñ an istor 'm eus kinniget un tamm a-raok.
Ma 'z peus c'hoant e c'hellez skrivañ e brezhoneg diwar
an istor : " mais où es donc Ornicar ?" ma kerez .
(da lavaret eo, e brezhoneg : "Met... pelec'h emañ Ornicar ? ")
(da lavaret eo, e brezhoneg : "Met... pelec'h emañ Ornicar ? ")
2 commentaires:
Il est parti, Ornicar.
Il en avait assez d'être au prétexte des enseignants, inoubliable aux écoliers.
Il a voulu vivre sa vie.
Un matin, il a pris valise en mains et Éole à ses souliers.
Il a rejoint l'île, y vit paisible.
Désormais.
Mais, il se peut qu'il t'écrive une carte, quelques mots, parce que (je crois) qu'il ne t'a pas oubliée.
Patiente....
C'est très poétique. Inattendu même. En somme, si je comprends bien, Ornicar avait envie de vivre pour lui, non plus pour les règles d'orthographe...
Enregistrer un commentaire